Travailler avec une maladie chronique : un guide de bonnes pratiques à destination des DRH

Avec une personne touchée sur cinq en France, les maladies chroniques évolutives (MCE) concernent un nombre croissant de salariés. Or le retour ou le maintien dans l'emploi nécessitent de faire tomber certaines idées reçues et d’aménager un cadre professionnel tenant compte des incidences de la maladie. Le réseau européen pour la promotion de la santé au travail et l'Anact proposent un guide de bonnes pratiques.

 

Sclérose en plaques, myopathie, maladie de Parkinson, VIH, hépatites, diabète, cancer sont quelques unes des maladies dites "chroniques évolutives". Elles ont en commun d'être des affections de longue durée qui, en règle générale, évoluent lentement. Quinze millions de personnes sont concernées en France par ces pathologies, soit près de 20% de la population.

 

Pour près de la moitié des personnes, la maladie survient alors qu’elles sont dans la vie active. Une proportion qui pourrait s'accentuer avec le recul de l'âge du départ en retraite. En plus des difficultés rencontrées par les salariés atteints, les MCE ont en général des répercutions sur l'organisation de la production. Les absences répétées peuvent ainsi se cumuler à des situations de handicap face à une situation de travail pour générer des problèmes de répartition de la charge au sein des équipes.

 

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Pour lire l'intégralité de l'article et accéder aux documents complémentaires, rendez-vous sur le site de l'ANACT.

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