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Vos solutions ergonomiques pour le bien-être au travail
La philosophie de ERGONÉOS se caractérise par une approche globale de la RSE en abordant concrètement le volet social, le volet environnement, le tout dans une logique économiquement viable. ERGONÉOS est aujourd’hui leader sur son marché grâce à son expérience, son expertise reconnue, la confiance et la fidélité témoignées par ses clients.
L‘Homme est au cœur de notre philosophie. Notre préoccupation majeure est le bien-être des hommes et des femmes qui font appel à nous.
ERGONÉOS promeut la diversité tant pour ses clients qu’en interne.
Preuve par l’exemple que handicap peut rimer avec compétitivité, nos équipes sont composées aujourd’hui de 20% de personnes en situation de handicap.
La diversité de ERGONÉOS s’exprime également au travers d’équipes multiculturelles, qui permettent d’accueillir nos clients en diverses langues, dont : le français bien sûr, l’anglais, l’allemand, l’espagnol ; mais également l’arabe, l’arménien, l’italien, le persan, le portugais, le roumain…
Pour devenir une société citoyenne, nous avons mis en place des actions concrètes afin de :
Cela se traduit par des actions concrètes :
Une production qui préserve l'homme et l'environnement
ERGONÉOS sélectionne ses fournisseurs / partenaires selon des critères de qualité, de durabilité, de préservation de l’environnement et d’éthique.
A ce titre, nous nous impliquons de manière cohérente dans la protection de l'environnement et le développement durable.
Réduire les risques pour l'environnement, utiliser les matériaux et l'énergie avec un maximum d'efficacité et réduire au minimum les émissions et les déchets, tels sont les objectifs d'une politique entreprenariale responsable sur le plan écologique, social et économique.
C'est ainsi que nous vous proposons des produits durables qui se distinguent par une ergonomie optimisée, une qualité élevée, des matériaux écologiques et une production respectueuse de l‘Homme et de l'environnement.
Pour exemple, nous avons sélectionnés des sièges qui ne contiennent ni matériaux dangereux (PVC, plomb, cadmium, chrome VI) ni produits ignifuges dangereux comme les retardateurs de flammes halogènes. Les capitonnages assise et dossier sont sans colle Mousse exempte d‘HFC. L’utilisation de matériaux avec rejets polluants réduits Exempt de HAP (hydrocarbure aromatique polycyclique).
Utilisation de tissus certifiés écologiques Second nature Recycled.
Aux proportions de recyclage suivants :
Nous travaillons au quotidien avec nos fournisseurs/partenaires pour réduire les emballages. Ainsi, nous sommes en mesure de vous livrer des sièges déjà montés, et sous emballage filmé (pas de carton).
Certains emballages ne peuvent encore être supprimés pour des raisons de protection. Dans ce cas, nous les recyclons par l’intermédiaire de notre partenaire Le Cèdre.
Ergonéos est adhérent Valdelia. Fondé en 2011, Valdelia est un éco-organisme à but non lucratif agréé par le Ministère de la Transition écologique et solidaire, dont la mission est de collecter et de recycler les Déchets d’Éléments d’Ameublement non ménagers (DEA non ménagers). Grâce à sa filière nationale, il propose des services de proximité, sur-mesure et gratuits aux collectivités, entreprises et associations de toutes tailles et de tous les secteurs. Financé par une éco-contribution affichée sur le prix de vente de tout mobilier professionnel neuf, Valdelia oeuvre pour le compte de 1.200 adhérents metteurs sur le marché : fabricants, distributeurs, importateurs de meubles professionnels neufs. Son existence répond à la fois à des enjeux environnementaux, économiques, sociaux et sociétaux stratégiques ainsi qu’à une obligation légale.
Nous avons décidé de participer plus activement encore au recyclage en participant à l’économie solidaire grâce la prise en charge du mobilier de bureau en fin de vie, assurée par notre partenaire Valdélia.
Une centaine de partenaires de l’Économie Sociale et Solidaire
Depuis octobre 2013, les acteurs de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS) sont conventionnés avec notre partenaire Valdelia. Ce qui nous permet d’être soutenus dans nos actions de collecte et de réutilisation de mobilier professionnel. Ces structures sont conventionnées sur la base d’un modèle de réutilisation clair, un ancrage territorial fort et un projet d’utilité collective.
Aujourd’hui, Ergonéos et Valdelia s’appuient sur un réseau d’une centaine de partenaires de l’Économie Sociale et Solidaire, indépendants ou affiliés à de grands réseaux nationaux (Emmaüs, ENVIE, le Réseau des Ressourceries…). Ils font partie intégrante de la filière Valdelia.
Pour l’année 2017, sur 1 620 tonnes collectées par 116 structures partenaires de l’ESS, près de 80 % des meubles ont obtenu une seconde vie, grâce à des actions de réemploi et de réutilisation. L’objectif est d’atteindre 75% de recyclage.
Grâce à cette activité, Ergonéos et Valdelia s’inscrivent dans une logique de responsabilité sociétale.
ERGONÉOS assure le traitement de fin de vie des produits défectueux en partenariat avec les entreprises d’éco-participation suivantes :
Nos process logistiques ont été optimisés afin de réduire nos émissions de CO2 et de rationnaliser notre organisation interne, avec un objectif de maximiser la satisfaction clients.
Ergonéos est dans une démarche d’amélioration continue, et partage avec vous nos valeurs et nos engagements.
"La RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) regroupe l’ensemble des pratiques mises en place par les entreprises dans le but de respecter les principes du développement durable (social, environnemental et économique)."
Source : e-rse.net
L'objectif du développement durable est de définir des schémas qui concilient les trois aspects économique, social, et environnemental des activités humaines, les « trois piliers » du développement durable à prendre en compte, par les collectivités comme par les entreprises :
Économique : performance financière « classique », mais aussi capacité à contribuer au développement économique de la zone d'implantation de l'entreprise et à celui de tous échelons.
Social : conséquences sociales de l'activité de l'entreprise au niveau de tous ses échelons : employés (conditions de travail, niveau de rémunération…), fournisseurs, clients, communautés locales et société en général.
Environnemental : compatibilité entre l'activité de l'entreprise et le maintien des écosystèmes. Il comprend une analyse des impacts de l'entreprise et de ses produits en termes de consommation de ressources, production de déchets, émissions polluantes…
Dans le principe du « Développement Durable », la notion sociale et la qualité de vie au travail prend une place de plus en plus importante.
Tout environnement se définit par son ambiance ou son atmosphère qui comporte plusieurs aspects : un aspect social (le type d’échanges), un aspect esthétique (l’harmonie), et un aspect systémique (les relations entre les diverses composantes et les évènements environnementaux).
L’environnement a donc un impact direct sur l’affect de l’être humain. Cet impact donne la direction et la tonalité aux comportements ultérieurs de celui-ci dans cet environnement.
Aujourd’hui encore, l’entreprise se conçoit encore comme un lieu de vie. Lorsque l’on sait qu’après la famille, l’entreprise et le lieu de socialisation par excellence, cette dernière ne peut ignorer que la qualité du travail dépendra tout à la fois de la notion de bien-être, de motivation, d’enthousiasme, d’épanouissement.
C’est pourquoi il est essentiel d’intégrer LA PREVENTION des risques professionnels dans la mise en place d’actions de Qualité de vie au travail. "Mieux vaut prévenir que guérir…" jamais cet adage n'a été autant d'actualité dans le monde professionnel. Nos métiers et nos activités évoluent constamment et nous devons nous adapter, tout en nous préservant des maux qui en découlent. Sédentarité, gestes et mouvements répétitifs inappropriés, postures professionnelles potentiellement invalidantes, outils de travail inadaptés au corps humain...
Toutes les entreprises n’ont pas obligatoirement une vision très précise de ce qu’un espace de travail bien adapté peut apporter au succès de l’entreprise, ou encore moins ce qu’un poste de travail mal aménagé peut lui coûter.
L’entreprise, lieu de production de biens et de services, nécessite une coopération entre les différentes personnes et départements qui la composent. Mais elle devient aussi, de plus en plus, un lieu de communication et d’échanges, véritable vecteur d’image…
Le contexte technologique et économique de la dernière décennie ajoute à cela une dynamique de changement et d’adaptabilité constants qu’il s’agisse de métier, d’organisations, de techniques de travail…
Il y a désormais une nécessité accrue de s’adapter au monde extérieur, mais également une compétitivité exacerbée poussant les entreprises à exiger de leurs salariés toujours plus d’innovations, de résultats, de performances…
Face à cette pression en constante évolution, les salariés (et les syndicats pour les grandes entreprises) sont de plus en plus critiques et exigeants envers leur cadre et environnement de travail. Entre démotivation, conflits relationnels, souffrance au travail… l’entreprise perd en crédibilité et en productivité.
Loin de se réduire à la seule question du « bien-être » des salariés, la thématique de la « QVT » interroge à la fois les valeurs et l’organisation de l’entreprise. Pour le DRH, elle constitue un vrai terrain d’expérimentation, à mi-chemin entre enjeux humains et recherche de compétitivité.
Depuis la signature de l’accord national interprofessionnel (Ani) sur « la qualité de vie au travail et de l’égalité professionnelle » le 19 juin 2013, l’acronyme « QVT » (pour « qualité de vie au travail ») a officiellement fait irruption dans le vocabulaire des ressources humaines. Il est même devenu une véritable marotte – en même temps qu’un nouvel objet de marketing – pour de nombreux consultants.
En France, la prise de conscience de l’intérêt de cette nouvelle approche est consécutive au renversement de perspective opéré par la publication, en 2010, du rapport Lachmann sur Le Bien-être et l’efficacité au travail. Commandé par le gouvernement de l’époque inquiet de l’évolution des risques psychosociaux dans l’entreprise, ce rapport, qui a fait date, invite les employeurs à ne plus considérer le travail comme un ensemble de risques et de coûts, mais bien comme une ressource, à la fois facteur d’épanouissement pour le salarié et créateur de valeur pour l’entreprise. « Il paraît indispensable de repenser des modes de management, d’organisation et de vie sociale dans l’entreprise qui permettent de créer un nouvel équilibre, intégrant la performance tant sociale qu’économique », écrivent ses auteurs.
Si la définition de la qualité de vie au travail demeure très mouvante – il n’en existe pas de définition juridique –, les signataires de l’Ani de 2013 en déterminent assez clairement les contours, la désignant « comme un sentiment de bien-être au travail perçu collectivement et individuellement qui englobe l’ambiance, la culture de l’entreprise, l’intérêt du travail, les conditions de travail, le sentiment d’implication, le degré d’autonomie et de responsabilisation, l’égalité, un droit à l’erreur accordé à chacun, une reconnaissance et une valorisation du travail effectué. »
Source : ANACT
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